Entre Hype Means Nothing et Eleven Paris les stars s'affichent de toute les manières !
HYPE MEANS NOTHING !
Permettez moi de vous raconter l'histoire de deux jeunes créateurs et entrepreneurs français de 17&18 ans. Il y a un an alors qu'ils étaient encore au lycée, ils observaient le monde de la street-culture et de la mode, à travers les magazines, les blogs et les webzines et ils ont décidé que c'était à leur tour d'y figurer, alors ils se sont lancés et n'ont pas eu froid aux yeux.
Un des deux fondateurs de Sans Nom Clothing, Yoann a l'idée d'encadrer des photos de ses idoles dans des cadres baroques, il demande alors à son ami Romain, en cours de science économiques ( pour l'anecdote ), si il veut se joindre à lui. Ces deux gamins, gavés de culture US et des séries américaines de HBO comme How To Make It In America (leur principal guide) décident alors de réaliser leur propre American Dream ( en France ), sans aucune connaissance dans le millieu de la création et de la mode, ils se lancent..
Ils sortent alors une première série de t-shirt en Juin 2010. Distribuée tout d'abord dans ce qu'on appelle le Colette lyonnais: 55Gallery à Lyon, puis en commande via leur site internet.
En Novembre 2010, ils décident d'aller plus loin et de " faire comme les grands ", il signe alors leur première collaboration et propose une exposition photo, en s'associant au photographe new-yorkais Jeb Allred et le magasin lyonnais DOPE. Il crée ainsi leur première collaboration, en offrant une nouvelle pièce, un t-shirt édité en série limitée pour l'occasion.
Février 2011, sortie de la collection SORRY WE ARE NOT FROM BROOKLYN cette fois, les deux jeunes lyonnais ont décidé d’étudier leur sujet à travers le prisme d’un quartier emblématique du mouvement hip-hop, j’ai nommé Brooklyn. Jusqu’à ce jour, Brooklyn demeure un des centres névralgiques du renouveau artistique; une sorte d’épicentre de la culture du cool (ou de la culture “hipster” pour les mauvaises langues) dans lequel apparaît tout ce qui se fait de plus novateur en matière de style ou de musique. C’est cet esprit de liberté et d’inventivité que Yoann et Romain ont voulu insuffler dans leur marque au style urbain et branché.
«Il y a 1 an, quand sortait la première collection de Sans Nom Clothing, peu d'entre nous aurait parié sur le succès de la marque. S'inscrivant à l'époque dans la vague Hype Means Nothing, leurs visuels très efficaces à base de stars du Hip-Hop ont pourtant fait mouche. Enchainant ensuite sur une collaboration avec le photographe Jeb Allred et le magasin Dope, la jeune marque vient tout juste de sortir sa 3ème collection et commence à surprendre par sa ténacité ! »
ELEVEN PARIS !
Eleven Paris s'offre Lizzie Jagger pour sa campagne automne-hiver
La nouvelle tendance Eleven !
FOULARD ELEVEN PARIS TÊTES DE MORT : COMME '' LOURDES LEON '' ET '' NICOLE RICHIE ''
A l'abordage ! Le foulard têtes de mort, qu'on croyait enterré est de retour autour des cous délicats de Lourdes Leon et Nicole Richie pour agrémenter leurs looks pointus
Lourdes Leon soigne son look même à l'aéroport et n'hésite pas à opter, pour se protéger des courants d'air assassins du tarmac, un foulard très gothique imprimé de têtes de mort. Fan de mode à l'instar de Madonna, sa célèbre maman, Lourdes cultive les penchants rock et provocants de son auguste génitrice. Avec un héritage pareil, on est obligé d'adopter un look très pointu et des détails de style que Lourdes, récemment aperçue avec une minaudière Alexander McQueen , semble déjà parfaitement maîtriser. Nicole Richie, it girl parmi les mortelles, adopte également le funeste accessoire sans assombrir une seconde sa délicieuse aura.
Si l'on veut adopter un look pirate bohème comme Julie de Secret Story 4 , le foulard têtes de mort est l'accessoire fort pour imposer une touche légèrement subversive. Cet imprimé assez provocant s'inscrit dans cette tendance très installée des vanités et têtes de mort , plébiscitées pour leurs mystères et leur force symbolique. Pour aborder en douceur cette mode un peu morbide, la légèreté d'un foulard têtes de mort semble très appropriée.
'' LOURDES LEON ''
&
'' NICOLE RICHIE ''
HYPE MEANS NOTHING !
Permettez moi de vous raconter l'histoire de deux jeunes créateurs et entrepreneurs français de 17&18 ans. Il y a un an alors qu'ils étaient encore au lycée, ils observaient le monde de la street-culture et de la mode, à travers les magazines, les blogs et les webzines et ils ont décidé que c'était à leur tour d'y figurer, alors ils se sont lancés et n'ont pas eu froid aux yeux.
Un des deux fondateurs de Sans Nom Clothing, Yoann a l'idée d'encadrer des photos de ses idoles dans des cadres baroques, il demande alors à son ami Romain, en cours de science économiques ( pour l'anecdote ), si il veut se joindre à lui. Ces deux gamins, gavés de culture US et des séries américaines de HBO comme How To Make It In America (leur principal guide) décident alors de réaliser leur propre American Dream ( en France ), sans aucune connaissance dans le millieu de la création et de la mode, ils se lancent..
Ils sortent alors une première série de t-shirt en Juin 2010. Distribuée tout d'abord dans ce qu'on appelle le Colette lyonnais: 55Gallery à Lyon, puis en commande via leur site internet.
En Novembre 2010, ils décident d'aller plus loin et de " faire comme les grands ", il signe alors leur première collaboration et propose une exposition photo, en s'associant au photographe new-yorkais Jeb Allred et le magasin lyonnais DOPE. Il crée ainsi leur première collaboration, en offrant une nouvelle pièce, un t-shirt édité en série limitée pour l'occasion.
Février 2011, sortie de la collection SORRY WE ARE NOT FROM BROOKLYN cette fois, les deux jeunes lyonnais ont décidé d’étudier leur sujet à travers le prisme d’un quartier emblématique du mouvement hip-hop, j’ai nommé Brooklyn. Jusqu’à ce jour, Brooklyn demeure un des centres névralgiques du renouveau artistique; une sorte d’épicentre de la culture du cool (ou de la culture “hipster” pour les mauvaises langues) dans lequel apparaît tout ce qui se fait de plus novateur en matière de style ou de musique. C’est cet esprit de liberté et d’inventivité que Yoann et Romain ont voulu insuffler dans leur marque au style urbain et branché.
«Il y a 1 an, quand sortait la première collection de Sans Nom Clothing, peu d'entre nous aurait parié sur le succès de la marque. S'inscrivant à l'époque dans la vague Hype Means Nothing, leurs visuels très efficaces à base de stars du Hip-Hop ont pourtant fait mouche. Enchainant ensuite sur une collaboration avec le photographe Jeb Allred et le magasin Dope, la jeune marque vient tout juste de sortir sa 3ème collection et commence à surprendre par sa ténacité ! »
Let me tell you the story of two young French designers and entrepreneurs from 17 & 18 years old. A year ago while still in high school, they watched the world of street-culture and fashion through magazines, magazines and blogs and decided it was their turn to be included, then they have started and have not had cold feet.One of the founders of No Name Clothing, Yoann has the idea to frame pictures of their idols in baroque frame, he asked his friend Romain, during economic science (for the story), if he wantsjoin him. These two kids, overfed growing US and U.S. series such as HBO How To Make It In America (their main guide) decide to make their own American Dream (France), without any knowledge in the middle of the creation and fashion, they set off ..Then they released a first batch of t-shirt in June 2010. Distributed first in what is called Colette Lyons: 55Gallery in Lyon, then order via their website.In November 2010, they decided to go further and "do as the great", he then signs their first collaboration and offers a photo exhibition, in association with New York photographer Jeb Allred and the store Lyons DOPE. This creates their first collaboration, offering a new piece, a t-shirt limited edition for the occasion.February 2011, leaving the collection SORRY WE ARE NOT FROM BROOKLYN this time, the young Lyon decided to study their subject through the prism of a neighborhood emblematic of hip-hop, I named Brooklyn. To date, Brooklyn remains one of the nerve centers of artistic renewal, a kind of epicenter of cool culture (or culture "hipster" for bad language) which is all that is becoming more innovative in terms of style and music. It is this spirit of freedom and inventiveness that Yoann Roman and wanted to instill in their brand and trendy urban style."There is a year when the first collection came out of No Name Clothing, few of us would have bet on the success of the brand. Entering the time in the wave Hype Means Nothing, their highly effective visual-based hip-hop stars, however, have a hit. Then follow up on a collaboration with photographer Jeb Allred Dope and the store, the new brand has just released its third collection and began to be surprised by his tenacity! "
ELEVEN PARIS !
Eleven Paris s'offre Lizzie Jagger pour sa campagne automne-hiver
Avec son nom de famille prestigieux et son physique de rêve, Lizzie Jagger est le genre de filles qui semble inaccessible à une jeune marque française. D’autant plus quand celle-ci évolue dans l’univers féminin depuis quatre saisons seulement. Et pourtant, la top Lizzie Jagger a accepté d’incarner la prochaine collection féminine d’Eleven, en étant le visage du catalogue automne-hiver 2010-11 et de la campagne publicitaire en presse féminine et en kiosques qui débutera en septembre. Pour Eleven, le choix est doublement pertinent : d’abord il permet de montrer à quel point la griffe tient à la femme, avec une collection automne-hiver comptant 140 références, soit 40% de l’offre globale. De plus, cette personnalité internationale permet de soutenir la marque sur tous ses marchés. Car Eleven est aujourd’hui présent sur tous les continents (pays : Canada, Espagne, Italie, Royaume Uni, Hollande, Belgique, Danemark, Suède, Grèce, Allemagne, Autriche, Suisse, Japon, Israël, Dubaï, Maroc, Russie, Hong Kong). Et compte parmi ses clients étrangers, des adresses de renom : Selfridges en Angleterre, Brown Thomas à Dublin, Podium à Moscou, Luisa Via Roma à Florence, Nano Universe à Tokyo. Certains distributeurs projettent déjà d’ouvrir des magasins à l’enseigne à Berlin, à Copenhague et à Amsterdam (la marque dispose déjà de boutiques en franchise à Lyon, à Toulon et à Marrakech, et bientôt à Lille et à Angers). « De la collection printemps-été 2009-2010 à la collection automne-hiver 2010-2011, les ventes à l’export sont passées de 5 à 25% du chiffre d’affaire de la marque », conclut Jessica Cohen, la porte-parole. En 2009, la griffe française a réalisé 3 millions d’euros de chiffre d’affaires, un montant qu’elle compte doubler en 2010. Car Eleven ne compte pas s’arrêter en si bon chemin…
La nouvelle tendance Eleven !
FOULARD ELEVEN PARIS TÊTES DE MORT : COMME '' LOURDES LEON '' ET '' NICOLE RICHIE ''
A l'abordage ! Le foulard têtes de mort, qu'on croyait enterré est de retour autour des cous délicats de Lourdes Leon et Nicole Richie pour agrémenter leurs looks pointus
Lourdes Leon soigne son look même à l'aéroport et n'hésite pas à opter, pour se protéger des courants d'air assassins du tarmac, un foulard très gothique imprimé de têtes de mort. Fan de mode à l'instar de Madonna, sa célèbre maman, Lourdes cultive les penchants rock et provocants de son auguste génitrice. Avec un héritage pareil, on est obligé d'adopter un look très pointu et des détails de style que Lourdes, récemment aperçue avec une minaudière Alexander McQueen , semble déjà parfaitement maîtriser. Nicole Richie, it girl parmi les mortelles, adopte également le funeste accessoire sans assombrir une seconde sa délicieuse aura.
Si l'on veut adopter un look pirate bohème comme Julie de Secret Story 4 , le foulard têtes de mort est l'accessoire fort pour imposer une touche légèrement subversive. Cet imprimé assez provocant s'inscrit dans cette tendance très installée des vanités et têtes de mort , plébiscitées pour leurs mystères et leur force symbolique. Pour aborder en douceur cette mode un peu morbide, la légèreté d'un foulard têtes de mort semble très appropriée.
'' LOURDES LEON '' &
'' NICOLE RICHIE ''
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